Selon une étude menée par Cyber Psychology et rapportée par Cosmopolitan et Les Eclaireuses, la pilule est plus difficile à avaler si l’on est ghosté. En d’autres termes, « être ignoré », comme un fantôme qui n’a jamais existé. L’idée du ghosting pourrait être bien plus difficile à gérer qu’une autre raison de rompre.
Sentiment d’exclusion
Pour obtenir ce résultat, les chercheurs ont analysé les réponses de 176 personnes âgées de 18 à 36 ans. Toutes ont été invitées à parler entre elles du type de rupture qu’elles avaient subi et à indiquer si elles avaient vécu un traumatisme plus ou moins important. Le résultat a été évident : « Nous avons constaté que le sentiment d’être exclu était plus répandu chez les participants fantômes que chez les personnes rejetées. Cela suggère que le ghosting est l’expérience la plus effrayante de l’exclusion », a déclaré l’un des chercheurs ayant participé à l’étude.
Dans le cas du ghosting, ce n’est pas le simple fait de ne pas être remarqué qui cause du tort, mais l’absence d’explication sur les raisons qui ont conduit à la séparation : » Le manque de communication qui caractérise le ghosting crée un processus très compliqué qui provoque la confusion et l’incertitude chez les victimes et réduit leur capacité à se remettre de la séparation« , indique l’étude. Une chose est sûre, vous savez que pour éviter de faire plus de mal, vous devriez rompre en vous exprimant à travers l’art.
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